De quoi avons-nous vraiment besoin ? réflexions...

"d'Amour et d'eau fraîche" ?

Le capitalisme

Le capitalisme est un système économique fondé sur le marché libre, la concurrence, la recherche du profit et la propriété privée des moyens de production. (source) Il aura consisté notamment après la seconde guerre mondiale à orienté une volonté de changement d'une nécessité de satiété à un désir insatiable de consommation.
Ce modèle quoi que l'on en dise se trouve à présent confronter à la limite de son règne par l'épuisement inexorable des ressources naturelles.
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Un modèle futur de survie

Imaginer un mode de vie futur satisfaisant pour la population dans sa globalité et durable par l'usage de son espace passe par une évolution du système actuel de l'hyperconsommation. Le monde de demain s'écrira d'abord par ce qui nous est indispensable.

Mais dans l'idée d'indispensable, de quoi a-t-on vraiment besoin? La notion même de cette nouvelle notion dans les sociétés futures notamment occidentales qui n'ont dans ces nouvelles générations que peut connu de pénurie, créerons des frustrations, par pour certains la nécessité de renoncer au besoin d'assouvir leur besoins égoïstes et déraisonnables.

Doit-on faire face à des choix de consommation de base ? Comment distinguer les besoins légitimes, qui pourront être satisfaits dans la société future, des besoins égoïstes et déraisonnables, qu’il faudra renoncer à assouvir.

La consommation a outrance comme opérée encore aujourd'hui, ne saurait durer dans le temps, notamment audelà de notre génération. Avec l'augmentation perpétuelle de la population mondiale, l'accroissement continuel des flux de matières premières et les besoins en énergie, il semble qu'une voie sage s'orienterait vers une société de sobriété.

D'après le manifeste, de l'association NégaWatt, les auteurs expliquent la nécessité de distinguer les besoins qu'il faudra continuer à satisfaire dans le futur / des besoins artificiels. Il faudra se défaire des besoins futiles, inacceptables, égoistes, pour s'approprier des besoins vitaux, essentiels et indispensables. (source)
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Demain des tribunaux des bonnes pratiques

Dès lors, comment distinguer le besoin accessoire du besoin essentiel? Qui décide?
Comment la communauté fera le choix d'un tel ou de l'autre, y aura-t-il toujours un monde à 2 vitesses? Les institutions auront-elles suffisamment de poids et de légitimité pour satisfaire au plus grand nombre?

La fuite en avant

En régime capitaliste, la consommation revêt une dimension ostentatoire, comme en achetant le dernier modèle de voiture en exhibant un statut social réel ou supposé. Jusqu'au jour, ou cela passe de mode et la distinction du statut s'effondre provoquant la nécessité d'un autre type d'achat. Une fuite en avant inhérente à l’économie de marché, au capitalisme, où les entreprises se concurrencent à produire des marchandises toujours plus nouvelles.
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Rompre avec le productivisme, fin de l'obsolescence programmée

Comment rompre avec cette logique d'élitisme d'ostentation? Par exemple, en luttant contre l'obsolescence programmée et en allongeant la durée de vie des objets.

Personne aujourd'hui ne pourra dire qu'il ne savait pas. De toute part, on s'alarme, on observe des indicateurs de raréfaction de ressources. Certes les avancées technologiques permettent certains progrès pour améliorer la durabilité, l'efficient de nos productions, mais à l'orée d'un monde en transition, une réflexion de fond, sur notre niveau de vie quotidienne devra s'oppérer. Et ceci, ne pourra que s'oppérer dans une vision de démocratie ouverte, ou tous par nos savoirs et savoir-faire pourront ensemble transformer notre monde consumériste. Mais pourrons-nous seulement aller vers une critique collective de notre vie quotidienne? Est-on vraiment prêt à changer collectivement notre vie quotidienne? Est-on prêt à une sobriété plus heureuse?
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A suivre...

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